lundi 4 juin 2012

Boulevard Robert Michon dans la Presse locale.


 Dans l'hebdomadaire "Le Pays" du jeudi 31 mai 2012
Dans le quotidien "Le Progrès" du samedi 26 mai 2012





lundi 28 mai 2012

Boulevard Robert Michon

 Robert Michon à table à midi, entre Bérangère son assistante et son cousin germain, Pascal Payet.
 Robert Michon répond au Maire de Tarare, Thomas Chadœuf-Hoebeke.
 Robert Michon durant sa longue allocution
 Découverte de la plaque du boulevard aidé par le Maire, le représentant de Gerflor et Jacques Larochette, Conseiller Général.
 Robert Michon avec à sa droite sa fille Catherine et son fils Pierre, devant la plaque portant son nom.
 A gauche, Henri Bonnet, collaborateur entré en 1952 et qui est devenu Président à son départ en 1983. Ainsi qu'un général, représentant de l'ANORA dont en sa qualité d'officier de l'Armée de l'Air, Robert Michon fait partie.
A gauche sa sœur, Andrée Larochette, son fils Pierre, son petit fils Pierre, sa fille Catherine et les trois enfants de sa fille, Lionel, Pascaline et Stéphane Rousset.
La plaque qui va rappeler de longues années aux tarariens, le nom de l'inventeur du Taraflex.

65 ans après et de son vivant, Robert Michon est honoré par la ville de Tarare (69)

 
Taraflex, maintenant Gerflor, est le plus important employeur de la ville de Tarare et donne du travail à plus de 600 personnes.
Robert Michon, agé aujourd'hui de près de 94 ans, vit à Tarare où il rencontre tous les jours des anciens de l'entreprise et des amis de ses 65 ans de vie tararienne.
Le Conseil Municipal de la ville de Tarare a donc décidé depuis 2011 de renommer une partie du boulevard Garibaldi, boulevard Robert Michon. C'est la partie de plus de 1 kilomètre qui va de la nationale 7 à l'entrée de Tarare, jusqu'à l'ancienne usine BAT, plus important fleuron dans les revêtements de sols du groupe GERFLOR qui a repris en 1978 aux anciens propriétaires, le groupe Champier, cette entreprise bâtie en 1947 dans les locaux des "Blanchiments et Apprêts de Tarare", la B.A.T. comme l'on disait à l'époque.
Lors de l'inauguration du boulevard Robert Michon, "Imaginateur du Taraflex", de nombreux amis et anciens collaborateurs de l'entreprise étaient là, ce vendredi 25 mai 2012 lorsque le Maire M. Thomas Chadœuf-Hoebeke a retracé qui était Robert Michon, avant de lui donner la parole, ainsi qu'à un ancien dirigeant de l'entreprise M. Henri Bonnet et à un représentant de l'actuelle direction de Gerflor.

Robert Michon, qui a aussi durant ce même week-end, participé au centenaire du Sporting Club de Tarare dans sa section rugby dont il fut à la fin des années 40 et le début des années 1950, un participant actif, est très fier de l'hommage qui lui a été fait par la ville de Tarare. Donner son nom de son vivant à un boulevard n'est pas chose courante à notre époque.

Pour le cinquantenaire, un livre.


Pour le cinquantenaire de la création de Taraflex, Robert Michon, raconte la création de cette entreprise pour mettre en valeur tous ceux qui ont concourus à cette aventure, de 1947 à 1983, lors de sa mise à la retraite par le groupe Gerflor.
Cette aventure entrepreneuriale est édifiante à plus d'un titre. 
Parce qu'entre 1947 et 1983, non seulement les conditions économiques n'étaient pas les mêmes, mais le code du travail non plus. Il y avait tout à inventer et le champs était libre pour innover et mobiliser le personnel. Robert Michon, membre des Jeunes Patrons à l'époque a été un précurseur, en France, de la mise en place de plans d'intéressements et de participations pour le personnel.
Et puis à 29 ans quand il a démarré cette aventure, la prospective n'est pas la même que lorsqu'il a 59 ans dans sa manière de faire confiance à l'avenir pour s'engager lui et les centaines de personnes dont il a alors la charge dans les investissements de moyens termes. Il va prendre des décisions qui ne vont pas faire l'unanimité parmi les jeunes cadres qui l'ont rejoints. 
Cet ouvrage qui relate 36 ans de vie de cette entreprise est un bon exemple pour réfléchir à la création d'entreprise en France. A ce qu'elle était à la sortie de la guerre et maintenant 65 ans après dans une France où les créateurs ont un environnement bien différent.

Cet ouvrage comprend des dizaines de photos prises tout le long de cette épopée.